La Commission Européenne veut conserver le statu quo en Grèce. L’institution a décidé le 26 janvier d’interdire le projet de fusion entre Aegean Airlines et Olympic Air.
Selon elle, le rapprochement entre les deux compagnies grecques aurait créé une situation de quasi-monopole sur le marché domestique, dont elles contrôlent ensemble 90% des liaisons. Le monopole aurait été particulièrement important sur neuf liaisons au départ d’Athènes, notamment à destination de Thessalonique et des îles grecques.
Aegean Airlines et Olympic Air ont proposé de faire des concessions en cédant des créneaux dans différents aéroports du pays. La Commission a toutefois jugé que cela ne suffirait pas à protéger les voyageurs contre une augmentation des tarifs, les plateformes grecques n’étant pas saturées.
Elle a également estimé irréaliste qu’une nouvelle compagnie de taille suffisante puisse entrer sur le marché et exercer la pression nécessaire sur sa concurrente pour maintenir les prix à un niveau convenable.
Selon elle, le rapprochement entre les deux compagnies grecques aurait créé une situation de quasi-monopole sur le marché domestique, dont elles contrôlent ensemble 90% des liaisons. Le monopole aurait été particulièrement important sur neuf liaisons au départ d’Athènes, notamment à destination de Thessalonique et des îles grecques.
Aegean Airlines et Olympic Air ont proposé de faire des concessions en cédant des créneaux dans différents aéroports du pays. La Commission a toutefois jugé que cela ne suffirait pas à protéger les voyageurs contre une augmentation des tarifs, les plateformes grecques n’étant pas saturées.
Elle a également estimé irréaliste qu’une nouvelle compagnie de taille suffisante puisse entrer sur le marché et exercer la pression nécessaire sur sa concurrente pour maintenir les prix à un niveau convenable.
Comme lorsque Ryanair projetait de racheter Aer Lingus en 2007, la Commission s’est opposée à la distorsion de concurrence que créerait un rapprochement entre Aegean Airlines et Olympic Air : « la concentration envisagée aurait conduit à un quasi-monopole entre Athènes et Thessalonique, deuxième ville du pays, ainsi qu'entre Athènes et huit aéroports insulaires ».
L'enquête; menée par Bruxelles a également montré qu'il n'y a « aucune chance qu'un nouvel opérateur entre sur le marché grec après la concentration et concurrence, sur une échelle suffisante, la nouvelle entité sur les vols intérieurs au départ et à destination d'Athènes ».
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