Dès le début du défilé, rassemblant quelques milliers de personnes, des petits groupes casqués et cagoulés s'en sont pris, à coups de pierre et de barres en bois aux Abribus, aux vitrines de banques et de magasins, la plupart ayant cependant baissé leurs volets de métal.
Une fois arrivés près du Parlement, ces groupes ont caillassé les abords d'un hôtel de luxe, tirant un cocktail molotov. Les forces anti-émeute les ont ensuite fait reculer, coupant en deux le gros du cortège en lançant des gaz lacrymogènes.
La plupart des manifestants avait jusqu'alors marché dans le calme vers le Parlement, aux cris de "La Grèce n'est pas un protectorat", en référence à la tutelle imposée au pays par l'Union européenne et le Fonds monétaire international (FMI) en échange de son sauvetage financier.
La circulation a été interdite sur les principles avenues et places du centre-ville en prévision d'incidents supplémentaires, tandis que de nombreux commerces se sont protégés en plaçant des grilles métalliques sur leurs devantures.
Car cette manifestation doit être suivie, dans l'après-midi, d'un deuxième cortège de la gauche commémore la mort d'Alexandros Grigoropoulos, 15 ans, tué par un policier le 6 décembre 2008. Cette bavure avait causé la radicalisation d'une partie de la jeunesse grecque.
A l'issue de neuf mois d'audience, Deux policiers ont été reconnus coupables de sa mort cette année. Sur les lieux du drame, une foule s'est rassemblé en silence. Beaucoup ont déposé des bouquets de fleurs ou allumé des bougies devant la plaque de marbre à sa mémoire.
IL Y A TROP DE RÉCUPÉRATION POUR QUE CE SOIT CRÉDIBLE.
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