Au dernier sommet européen de Bruxelles, les chefs d'Etat et de gouvernement ont écarté l'idée des euro-obligations émises en commun et non par chaque pays de la zone euro afin de mutualiser les risques liés aux emprunts.
L'Allemagne et la France, qui se refinancent à bas prix sur les marchés, s'y sont opposées. En revanche, le Luxembourg, la Belgique, l'Italie et le Portugal se sont prononcés pour. De même que la Grèce dont le Premier ministre Georges Papandréou ne se satisfait pas de ce refus. Il voudrait que soit lancée la collecte d'un million de signatures de citoyens européens qui proposeraient la création de ce nouvel instrument financier directement à la Commission européenne par-dessus la tête des responsables politiques.
Ce serait alors la première initiative citoyenne européenne, une procédure toute nouvelle puisqu'elle a été adoptée le 15 décembre dernier par le Parlement européen. Cette initiative citoyenne, prévue par le traité de Lisbonne, a pour objectif d'instaurer un peu de démocratie participative dans les rouages de l'Union européenne.
L'Allemagne et la France, qui se refinancent à bas prix sur les marchés, s'y sont opposées. En revanche, le Luxembourg, la Belgique, l'Italie et le Portugal se sont prononcés pour. De même que la Grèce dont le Premier ministre Georges Papandréou ne se satisfait pas de ce refus. Il voudrait que soit lancée la collecte d'un million de signatures de citoyens européens qui proposeraient la création de ce nouvel instrument financier directement à la Commission européenne par-dessus la tête des responsables politiques.
Ce serait alors la première initiative citoyenne européenne, une procédure toute nouvelle puisqu'elle a été adoptée le 15 décembre dernier par le Parlement européen. Cette initiative citoyenne, prévue par le traité de Lisbonne, a pour objectif d'instaurer un peu de démocratie participative dans les rouages de l'Union européenne.
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