"Le pire pour nous serait de signifier que nous faisons marche arrière. La confiance en notre pays serait dilapidée et nous nous trouverions dans une nouvelle période de déstabilisation. Tout signe laissant entendre que nous renonçons à la bataille nous plongerait à nouveau dans une situation hasardeuse", dit-il dans un entretien publié samedi par le quotidien Ta Nea.
Le versement de l'aide d'urgence de 110 millions d'euros consentie par l'Union européenne et le FMI pour éviter la faillite des comptes publics est conditionné à la mise en oeuvre de son plan d'austérité.
Le chef du gouvernement, dont les premières réformes ont été saluées par les deux institutions, répète dans l'interview accordée à Ta Nea qu'il convoquera des législatives anticipées en cas de défaite aux élections locales.
"JE NE BLUFFE PAS!"
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