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Σάββατο 13 Νοεμβρίου 2010

Grèce: de nouvelles mesures d'austérité seraient des réductions de dépenses

Toute nouvelle mesure d'austérité porterait sur des réductions de dépenses et non sur la création de nouvelles taxes, a déclaré vendredi le ministre grec des Finances George Papaconstantinou.
"Si un nouvel ajustement s'avérait nécessaire, il consisterait en une réduction des dépenses de l'Etat, partout où le gaspillage peut être réduit", a indiqué le ministre à la chaîne privée Mega channel.
Selon le ministre des Finances, les réductions auraient vraisemblablement lieu dans les compagnies du secteur public où il existe, selon les inspecteurs de l'Etat, des salaires exorbitants et des effectifs pléthoriques.
"Nous avons évoqué la nécessité de limiter les déficits des compagnies publiques", a souligné M. Papaconstantinou.
"A la fin du processus de restructuration, il est évident que les compagnies publiques auront moins d'effectifs qu'aujourd'hui. Ceci pourra prendre la forme de transferts vers d'autres secteurs, de départs à la retraite ou le non renouvellement de contrats arrivés à expiration.
"Cela ne signifie pas des licenciements massifs de contractuels", a-t-il précisé.
M. Papaconstantinou a ajouté que le gouvernement espérait convaincre ses trois créanciers (UE, FMI et Banque Centrale Européenne) que de nouveaux sacrifices ne seraient pas nécessaires.
La Grèce a déjà réduit son déficit de plus de 14 milliards d'euros (19 milliards de dollars) cette année conformément à un plan draconien d'augmentation de taxes et de réductions de salaires exigées par l'union Européenne et le Fonds Monétaire International (FMI) en échange d'un soutien financier qui a évité au pays la faillite.
Cependant, le déficit grec, révisé par l'agence de l'Union européenne Eurostat qui va y inclure les grosses pertes des sociétés publiques, ne permettra pas au gouvernement d'honorer les engagements pris quant à la réduction de son déficit.
Les comptes révisés de l'Etat grec devraient être rendus publics alors qu'une mission de l'Union Européenne, de la Banque centrale Européenne et du FMI est attendue à Athènes pour effectuer un audit des finances grecques.
Ces chiffres devraient montrer un déficit révisé en hausse pour 2009 à 15% plutôt qu'à 13,6% du PIB.
La mission UE-FMI décidera si la Grèce est éligible à une troisième tranche d'aide de 9 milliards d'euros (12 milliards de dollars) du prêt global de 110 milliards d'euros consenti par ces instances.
Le Premier ministre grec George Papandreou, qui fera face à une échéance électorale locale dimanche, avait reconnu jeudi que le déficit public dépasserait l'objectif prévu.

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