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Παρασκευή 25 Φεβρουαρίου 2011

Privatisations : la Grèce va faire un inventaire de son patrimoine immobilier

Le gouvernement grec va nommer d'ici fin mars des conseillers pour évaluer le patrimoine immobilier de l'Etat "qui pourrait être exploité" ou mis en concession afin de contribuer à la réduction de la dette, a indiqué jeudi le ministre des Finances, Georges Papaconstantinou. 
"Le gouvernement va procéder à la nomination d'un conseiller qui va recenser l'immobilier de l'Etat, qui pourrait être exploité", a dit M. Papaconstantinou au cours d'une conférence de presse à l'occasion de la publication du plan "actualisé" de redressement de l'économie du pays par l'Union européenne (UE). Selon le ministre, "le premier volet de l'immobilier public, qui pourrait être exploité, serait prêt en juin, avant un second volet qui suivra en décembre". M. Papaconstantinou a réaffirmé que l'Etat grec procédera à des privatisations de l'ordre de 15 milliards d'euros d'ici 2013, ce qui est prévu dans le plan de redressement de l'économie du pays. Il a aussi indiqué que le gouvernement tablait sur des privatisations "de l'ordre de 50 milliards d'ici 2015", tout en soulignant que cet objectif n'était pas inscrit dans le plan de l'UE car c'est un objectif décidé par le gouvernement grec. L'ojectif de 50 milliards d'euros, annoncé le 11 février à Athènes par les représentants de l'UE et du Fonds Monétaire International (FMI) à la fin de leur contrôle des comptes du pays, a provoqué un tollé dans le pays, car Athènes avait annoncé jusqu'alors un objectif de privatisations limité à 7 milliards d'euros d'ici 2013. Le Premier ministre a tenté de clore la polémique sur le bradage de la Grèce à des intérêts étrangers, en affirmant qu'il ne s'agissait pas procéder à des ventes de terrains ou de bâtiments, mais de céder des concessions d'exploitation commerciale. La Grèce est contrainte de procéder à l'exploitation d'une partie de son patrimoine, estimé à près de 270 milliards d'euros, en vue de réduire sa dette qui se situe à plus de 300 milliards d'euros et de 150% du PIB.

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