ποιος ακούει ότι η μια μόνη καμπάνα δεν ακούει παρά έναν ήχο

Δευτέρα 8 Νοεμβρίου 2010

La crise grecque


Les chiffres clés de l’économie
 
Le taux de chômage s’établissait officiellement en Grèce à 12% en juillet 2010 contre 9,6% un an plus tôt. Le gouvernement prévoit 14,5% de chômage en 2011 et 15% en 2012 puis 14,6% en 2013.

Le PIB (Produit intérieur brut) devrait baisser de 4% cette année et de 2,5% en 2011, ce qui serait une troisième année de récession après –2,3% en 2009 (source UE).

Le déficit budgétaire devrait représenter 7,8% du PIB en 2010 et 7% en 2011, selon le gouvernement plus optimiste que l’UE et le FMI qui prévoient un déficit de 7,6% l’an prochain.

La dette publique s’élèvera à 313 milliards d’euros cette année et à 330 milliards d’euros en 2011.

Les recettes fiscales ont augmenté de 3,7% entre janvier et septembre 2010 (contre un objectif de +13,7% sur un an). Les revenus issus des impôts ne représentent que 32,6% du PIB en Grèce, contre 39,3% en moyenne dans l’UE.

Les principales mesures d’austérité

Réduction générale de 10% des salaires dans la fonction publique, assortie de –30% sur le 13e mois versé avant Noël et –30% sur le 14e mois (distribué en deux parties à Pâques et avant l’été).

Réduction de 10% du montant des pensions de retraite.

Réduction des dépenses publiques de 7,1% sur les neuf premiers mois de l’année, découlant surtout d’une coupe de 30% dans les investissements publics.

Hausse de la TVA de 19% à 23%.

Nouvelles taxes sur les cigarettes et sur l’alcool.

Les mesures à venir

Restructuration des principales entreprises publiques, dont les chemins de fer (effectifs divisés par deux) en vue de leur privatisation.

Ouverture à la concurrence des professions réglementées (pharmaciens, notaires, architectes, avocats…)

Baisse des dépenses d’armement : -1,4 milliard d’euros en 2011 après -1,1 milliard en 2010.

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